Aller au contenu

L’Histoire du Sojjok

L’Histoire du Sojjokkwan est née grâce à la passion d’un homme pour qui le Taekwondo est une seconde nature. Un esprit et une philosophie qu’il sait transmettre avec succès.

Manuel BAPTISTA, désireux de pratiquer son taekwondo et d’en faire son métier, devient professeur diplômé d’état en 1991, et décide cette même année, de donner naissance à son premier club, à Niort, rue Villersexel : « l’association sportive du Sojjok kwan »,avec comme président Benoît LOUIS qui, par la suite devint son assistant. Il baptise sa salle privée : « Le Dojang du sapin de Corée ». Qui ne compte qu’une douzaine d’adhérents au départ.

Les années passent, les tatamis s’usent sous des milliers de coups de pied, des champions et des championnes naissent… 15 ans aprés, la « Sojjokkwan attitude » est impérissable. Un deuxième club est créé à La Rochelle : « le Taekwondo club Rochelais ». Les deux clubs comptabilisent en tout plus de 120 pratiquants.

JPGJPG

Une quinzaine de ceintures noires allant du 1er au 3ème Dan, de plus en plus de licenciés chaque année, le Sojjokkwan s’est agrandi et s’est offert depuis 2003, Au 40, rue de Nambot à Niort, une nouvelle salle à la hauteur des ambitions du club. Une surface de 100m2 d’un entrepôt est totalement aménagée pour le plus grand plaisir des pratiquants. La machine est bien rodée, la convivialité est conservée… Alors couuurrrrez !

Car courir au Sojjok, ’c’est du repos !’

Plusieurs assistants contaminés par le puissant virus du ’Sojjokkwan aigu’, ouvrent à leur tour leur propre club, à Rochefort et Chatellerault.

Le Sojjok compte aujourd’hui une équipe de combattants de niveau national et international, avec un à plusieurs combattants dans chaque catégorie. Aprés Myriam Baverel et bien d’autres, ’mondolio-tchagueur’ et ’mondolio-tchagueuse’, et l’histoire n’est pas terminée…

GIFGIF

Les tatamis n’attendent que vous !